Les scrabbleurs, comme beaucoup de joueurs, ont développé un jargon qui peut être un peu perturbant pour le profane.
Les scrabbleurs, comme beaucoup de joueurs, ont développé un jargon qui peut être un peu perturbant pour le profane.
Il existe en effet de nombreux termes spécifiques allant du matériel à la stratégie en passant par les formules de jeu, la désignation des lettres ou encore le placement des mots.
Pour survivre dans ce monde à part, parcourez la page Wikipédia à ce sujet.
Les atouts indispensables pour progresser au Scrabble sont d’engranger du vocabulaire, de s’exercer aux tirages et aux anagrammes, et surtout de jouer !
Pour cela, vous pouvez rejoindre un club situé dans votre région, mais vous pouvez également vous entraîner chez vous grâce à de nombreux outils.
Parmi les ouvrages de référence complémentaires à l’Officiel du Scrabble, nous pouvons vous conseiller les dictionnaires réduits et commentés :
Pour ce qui est de la stratégie et de la technique :
Ou d’autres brochures disponibles à la boutique FSSc :
Plusieurs sites Internet sont consacrés à votre jeu favori :
Il existe également des applications pour smartphone et tablette :
La méthode d’entraînement privilégiée par de nombreux scrabbleurs affiliés à l’heure actuelle est le Topping.
Inventée à la fin des années 90 par les champions français Franck Maniquant et Nicolas Grellet, elle permet de s’entraîner dans des conditions similaires à celles d’une partie de compétition, mais elle évacue les temps morts.
Dans cette formule, le joueur (ou un groupe de joueurs, c’est plus convivial) joue une partie directement sur un ordinateur équipé du logiciel Duplitop. Ce programme reproduit la grille sur l’écran et donne aléatoirement au joueur un tirage de lettres.
Si le joueur propose une solution (mot et place) qui n’est pas le top, le coup continue ; dès qu’il propose le top, le mot s’active sur l’écran et le programme complète le tirage. La partie se déroule ainsi bien plus rapidement qu’une partie officielle.